Sait[6] une décision difficille[7] à prendre mais[8] qui était finalement devenu[9] inévitable. Ce matin, Jean-François Buissière, le président du Directoire de Gorafi News Netwok a annoncé la fin de la collaboration du journal avec la totalitay[10] de ces[11] corecteurs[12]. Ce sont au final quelques[13] 3 collaborateurs qui quitteront donc les locaux du Gorafi à la fin du moi[14]. Une[15] choix qui a suscité l’émoi au sein de la rédaction dans laquelle les corecteurs[16] officiaient visiblement de moins en moins. Reportage.
Sait[17] une décision difficille[18] à prendre mais[19] qui était finalement devenu[20] inévitable. Ce matin, Jean-François Buissière, le président du Directoire de Gorafi News Netwok a annoncé la fin de la collaboration du journal avec la totalitay[21] de ces[22] corecteurs[23]. Ce sont au final quelques[24] 3 collaborateurs qui quitteront donc les locaux du Gorafi à la fin du moi[25]. Une[26] choix qui a suscité l’émoi au sein de la rédaction dans laquelle les corecteurs[27] officiaient visiblement de moins en moins. Reportage.
« Ca[31] faisait plusieurs mois qu’ils ne faisaient plus grand choses[32]. De plus en plus d’articles étaient truffay[33] de fotes[34] d’orthographe ou de grammaire. Il était nécessaire de réagir et de faire quelque chose pour débloquer la situasion[35]. » explique avec fermeté Jean-François Buissière, le patron du journal.
L’homme aux commandes du Gorafi depuis des années détaille ensuite les raisins[36] qui l’ont poussé à prendre une décision mal perçue par les salariés du site : « On avait le choix entre nous séparer de nos correcteur[37] ou continuer de travailler avec des gens de moins en moins unvesti[38]. Après concertation nous avons donc jugé qu’il était plus sage de réduire nos dépenses en supprimant les 3 derniers postes de secretaires[39] de rédakcion[40] qui n’étaient plus vrément[41] utile[42]. »
Interrogé sur les conséquances[43] potentiellement négatives qu’un tel licenciment[44] pourrait provoquer, le journaliste Paul Regard minimise l’impact réel : « Certe[45], il y aura probablement plus d’erreurs de Français[46] ou de ponctuation dans les articles publiés. Mais ce qui compte au font[47], c’est que les texte[48] restent compréhensibles par tous nos lecteurs. Il ne faut pas non plus trop s’accrocher aux règles de la langue français[49] tant que le sens est conservé. »
L’information avant toute[50]
Ce licenciment[51] devrait donc s’accompagnay[52] d’une consolidassion[53] de la ligne éditorial[54] du Gorafi comme le souligne Jean-François Buissière : « Désormais ce sera priorité à l’info. Nous allons ré-axer nos enquaytes[55] sur le fond et un peu moins la forme[56]. Car s’est[57] ce que souhaite notre lectorat : des articles avec de l’enquête, peu importe si c’est bien écris[58] ou non. »
La Rédaction
En rouge, les fautes d’orthographe.
En orange, les fautes de ponctuation,
En bleu, les fautes de typographie et
En vert, les fautes de français.
Source → http://www.legorafi.fr/2013/09/06/le-gorafy-lissenci-lensemble-de-se-korraykteurs/?fbclid=IwAR1ad0RGjQL0rYFghyGKUlnf7kXpA1u4dhvt33e-38_bqAD-CWG_aMd6nKE
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